Ou comment la boxe s’inscrit dans les traitements non médicamenteux de certaines pathologies:
Cardiovasculaires, métaboliques (diabète, obésité et surpoids), cancer, VIH, neurologiques, troubles psychiques, articulaires, respiratoires mais également l’état de grossesse et l’avancée en âge.
L’apprentissage technique, sans recherche de performance ni d’impact, permet néanmoins une amélioration de la santé des patients sur une multitude de capacités physiques et psychologiques (cf. tableau ci-dessous).
Plusieurs disciplines possibles:
La BEA (Boxe Educative Assaut), valorise l’apprentissage et la maitrise technique sans recherche d’impact et peut donc s’adresser à tous les publics puisque le travail en face à face se fait « à la touche » .
L’aéroboxe, permet un travail technique avec une dominante cardio ou renforcement musculaire, sans opposition, sur de la musique; elle peut donc être pratiquée à tous les âges.
Les formes de travail diverses et parfois sans opposition permettent une adaptation à chaque patient.e, (sac de frappe, élastiques, shadow boxing, ou circuit training…). Ces formes sont appréciées par les débutant.e.s car elles permettent un travail physique engagé et souvent moins stressante que les séances en opposition.
Source: medicosport – CNOSF
Une formation certifiante spécifique permet aux éducateurs sportifs de labelliser leur club et d’accueillir les patients, sur un créneau dédié, qui bénéficieront d’une licence-carnet de suivi, qui circulera entre le médecin prescripteur, l’éducateur et le patient afin d’optimiser le suivi de ce dernier.
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